Siamo Solo Noi
Avertissement !
Si vous ne connaissez pas le spectacle, nous vous déconseillons de lire ce qui suit, pour garder la surprise du répertoire traversé.
Par contre, pour celles et ceux qui l'ont vu, vous retrouverez, ci-dessous, la présentation des chansons que nous empruntons. Une façon de mieux les comprendre ou de suivre votre curiosité jusqu'à (ré)écouter les versions originales.
Terra Mia
Pino Daniele (1977). Chanson napolitaine qui exalte la terre natale. « Ma terre ! Que c’est beau de te regarder ! Que c’est beau de penser à toi ! »
Cosa sarà
Lucio Dalla, Ron (1978). « Mais c’est quoi, cet étrange courage ou cette peur qui nous prend, et qui nous pousse à écouter la nuit qui tombe ? »
L'isola che non c'è
Edoardo Bennato (1980). « Deuxième étoile à droite, et puis toujours tout droit jusqu’au matin. Tu ne peux pas te tromper, parce qu’après, le chemin, tu le trouves en toi. Il mène à l’île qui n’existe pas »
Il leone e la gallina
Lucio Battisti, Mogol (1972). Peut-être la chanson la plus mascuniliste de l’univers. Sardou, sort de ce corps !
Ancora tu
Lucio Battisti, Mogol (1976). Une chanson nostalgique sur les amours qui ne finissent jamais. Le goût vertigineux de la guimauve.
Il mio canto libero
Lucio Battisti, Mogol (1972). « Dans un monde emprisonné, on respire librement, toi et moi. Et la vérité s’offre à nous, toute nue »
Margherita
Riccardo Cocciante, Marco Luberti (1976). La margherita : la base !
Mamma
Cesare Andrea Bixio, Bixio Cherubini (1940). Créée par Beniamo Gigli. « Maman ! ma plus belle chanson, c’est toi. C’est toi la vie, et je resterai près de toi pour la vie »
Il Ragazzo della via gluck
Miki Del Prete et Adriano Celentano, Luciano Beretta (1966). Probablement la chanson la plus connue de Celentano, reprise en français par Françoise Hardy
I want to know
Adriano Celentano (1976). « Comment font les gens pour pouvoir vivre dans les maisons d’aujourd’hui, empilés comme des anchois ? Les bébés naissent déjà ridés »
Disperato erotico stomp
Lucio Dalla (1977). Une fable urbaine sur la misère sexuelle et la solitude. « Je reste à la maison, je ne sors pas beaucoup. Je réfléchis et je reste en caleçon »
Com'è profondo il mare
Lucio Dalla (1977). « C’est clair : penser crée des problèmes. Même si qui pense est muet, comme un poisson. D’ailleurs, même un poisson est difficile à contenir, parce que la mer le protège »
Lamento per la morte di Pasolini
Giovanna Marini (1979). « J’ai perdu la force. J’ai perdu le talent »
Io e te
Enzo Janacci (1979). « La beauté des 20 ans, c’est de ne pas écouter qui prétend t’expliquer l’avenir, puis le travail, puis l’amour »
L'anno che verrà
Lucio Dalla (1979). « Tu vois, mon ami, ce qu’il faut d’invention pour rire de ce qui nous arrive. Pour continuer à espérer »
Un aeroplano a vela
Gianmaria Testa (1995). « J’apprivoiserai un canari chanteur pour les jours sombres, quand la mer et le ciel n’en veulent pas, et qu’on ne peut pas voyager »
Che sarà
Franco Migliacci, Jimmy Fontana, Carlo Pes et Lilli Greco. « Que sera ma vie ? Qui peut le dire ? »
Il mio rifugio
Francois Bernheim, Gaio Chinocchio, Richard Cocciante (1987). « Personne ne pourra te dire ‘je t’aime’ comme moi »
Si, viaggiare
Lucio Battisti (1977). « Voyager ! Sûrement pas voler, mais voyager… ! »
© 2025 - Siamo Solo Noi